France... Ô France !

Ce blog sera celui de la transparence, de la tolérance, du partage et de l'humanité. Il restera politique et engagé sur maints points. ATTENTION CE SITE PEUT CHOQUER LES MINEURS

16 mars 2007

Jacques Delors, l’Européen

delors

Ce livre de mémoires ne restera pas comme une oeuvre littéraire. La construction sous forme de questions de Jean-louis Arnaud, le journaliste, est étouffée par l’ampleur des réponses. Le résultat n’a ni la familiarité du direct, ni la logique écrite de la rédaction. Le tout est un compromis hasardeux.

L’homme politique Delors est hanté par cette « conscience coupable » qui, selon Mauriac, habite tout chrétien, spécialement les catholiques convaincus. Cette « aliénation » à un péché originel l’empêche d’être apprécié des laïcs du Parti socialiste, donc a bloqué sa candidature à la présidentielle de 2002. Delors, par ce dégoût de soi perceptible, passe donc très vite sur son itinéraire personnel et vante en termes convenus l’excellence des collaborateurs et des interlocuteurs à qui il a eu affaire. Pour ceux qu’il n’aime pas, Elstine par exemple, il se contente de dire qu’il les a rencontrés à tel moment, à tel endroit.

Mais le vrai Delors n’est pas dans ce personnage conventionnel et emprunté. Il est dans sa nature humaine. Jacques Delors aime les êtres humains, il a pour eux de la compréhension, de la compassion, de l’empathie. Il aime s’y frotter, discuter avec eux, négocier, faire avancer les choses, ensemble. Et là, pas de fausse modestie, Delors est très fort. C’est l’un des mérites de François Mitterrand d’avoir su s’entourer de tels hommes pour les utiliser. La force politique du président de gauche a été de savoir les manipuler, certes, mais pour ce qu’ils savaient faire le mieux. C’est là le meilleur de la politique, la vraie.

Dans une Europe à la diversité culturelle sans équivalent sur un même périmètre, aux méfiances réciproques, aux intérêts divergents, Jacques Delors a su forcer le respect des Allemands comme de Margaret Thatcher, par sa probité et par son goût du compromis. Il a fait avancer l’Europe dans sa construction, en évitant « l’arrogance française », en étudiant ses dossiers avec sérieux, en échangeant beaucoup d’idées lors de réunions de travail ou dans des ambiances détendues. Il savait « partager le pain », comme il le dit avec componction. Il est l’homme des « petits pas », adaptant le souhaitable au possible immédiat. Cette forme de leadership est très efficace dans une telle diversité d’Etats en processus d’union.

Jacques Delors croit en l’osmose entre le politique, l’économique et le social ; entre le financier et le monétaire. Il croit en l’équilibre institutionnel du Parlement, du Conseil et de la Commission, mais à la condition que chacun remplisse pleinement son rôle. Les récriminations sont dues, en général, à ce que l’une des institutions se défausse : le Parlement en hésitant à légiférer, le Conseil en ne parvenant pas à dégager une politique économique commune, la Commission en se mêlant de petits détails qui fâchent.

Delors croit en l’éducation tout au long de la vie, pour éviter les échecs, empêcher la marginalisation et brasser le monde des décideurs à tous niveaux. Il croit que la porte n’est jamais fermée à qui a une volonté. En bref, il croit en l’homme et en ses possibilités. Appliqués à la construction européenne, ces principes issus du syndicalisme des origines, ont fait merveille.

Pour ces réflexions de sagesse d’un homme pragmatique, ces Mémoires se lisent avec bonheur. Dommage que la gauche française (du moins son électorat) préfère encore l’infantilisme de l’attente d’un Grand soir sans cesse à venir. Demain, on rase gratis - toujours demain. Aujourd’hui ? On attend. Qui ? Le prochain Jacques Delors. En attendant Godot.

Jacques Delors, Mémoires, 2004, Pocket, 613 p

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(Cf.  Agoravox)

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LE CHOIX DE DELORS

Jacques Delors s'exprime sur Ségolène Royal.

Quand François Bayrou évoque ces sociaux-démocrates dont il se sent si proche, il pense avant tout à Jacques Delors. Ah ! Delors ! S'il était plus jeune, c'est lui qu'il prendrait comme Premier ministre. Et Bayrou de laisser entendre ainsi que l'ancien président de la Commission est prêt à le rejoindre. Comme si leur alliance était naturelle ! D'ailleurs, si Delors se tait, s'il ne dit mot, c'est qu'il consent à ce rapprochement qui va de soi. Seulement voilà : Delors, comme son ami Rocard, que Bayrou a tenté de récupérer lui aussi, comme Pascal Lamy, le directeur général de l'OMC dont le nom a été lancé pour Matignon, est et reste socialiste, même si le PS ne s'est pas toujours bien comporté avec lui. «J'ai de la sympathie pour Bayrou», reconnaît volontiers Delors. Mais il ajoute aussitôt : «Avec Ségolène Royal, je partage des valeurs. J'ai découvert trois joyaux dans sa campagne. Elle a su dépasser les lignes. Elle a su se faire entendre des Français qui ont le sentiment d'être rejetés par la politique. Elle défend des valeurs - l'autorité, la famille - auxquelles je suis très attaché. Et ces valeurs, elle a réussi à les faire émerger grâce à ses débats participatifs.» C'est clair et net. Bayrou devra chercher une autre figure symbolique de la social-démocratie. (cf. Le Nouvel Obs)

Plutôt que faire du blabla, je vous invite plutôt à aller visiter le site dont fait partie mon deuxième chouchou : Notre Europe.

Vous pouvez vous abonner à la newsletter et recevoir ainsi les derniers articles parus.

Et connaître à peu près le principal sur lui : Wikipedia.

Cendra, un peu flemmarde ce soir...

 

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ET SI LES FEMMES...

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... (2ème partie) pouvaient être moins sentimentales.

Moins sensibles, moins tendres, moins douces, moins mères avec tout ce qui bouge. Envie de câliner, besoin d'amour, mais attention du Grand Amour... Moins "esthétiquement" belles, moins belles d'âme, moins intelligentes...

A quoi, cela tient-il tout cela ?

Notre façon d'être, de penser. très fortes et fragiles en même temps. Nous pouvons être douces, nous pouvons être dures. Nous pouvons être charitables, nous pouvons être impitoyables. Des bras de douceur et des vraies tigresses.

Cette complexité de notre être vient bien évidemment de la complexité de nos hormones. Nous évoluons avec nos cycles, nos humeurs.

Je crois que nous apportons un peu de douceur dans ce monde, et de la force pour le préserver. Nous sommes en quelque sorte les gardiennes de la paix et de la sérénité, de la pérennité de ce monde. Mais pas toujours. C'est pour cela que nous devons "tenir notre place" auprès de l'homme. Affirmer notre position. Ne pas baisser la tête, ne pas baisser les bras.

Mais le clivage n'est pas infranchissable. Pour ceux qui croient en la réincarnation, ils savent que cela est possible. Qu'il reste, plus ou moins, en nous une part de nos vies antérieures, où nous avons été homme, où vous avez été femme.
Ce clivage peut nous opposer, ou nous rapprocher.

Ce qui est indéniable, c'est que nous sommes faits pour vivre ensemble, côte à côte. Nous nous complétons.

Ce qui est dommage, c'est que cela n'est pas forcément le cas. Lutte de pouvoir. Manques de respect. je n'aime pas les religions pour cela car elles définissent les rôles d'une manière peu équitable et leur interprétation les rend encore plus inégales.

Mais le sentiment est la richesse de la femme. C'est ce qui amène à regarder l'autre. C'est ce qui peut aussi amener à détester. L'amour, la haine, la joie, la tristesse.
Gardons l'oeil ouvert !

Je pense également que nos différences ne sont pas toujours évidentes. Il peut y avoir des hommes plus doux que les femmes et des femmes tellement brutales que rien que d'en parler, j'en tombe par terre !
En fait, il n'y a plus tant de différences que cela. peut-être plus dans la sexualité. Par forcément dans la manière d'être.

Fragile parfois, je laisse mon coeur dériver. Alors, je me force à avancer, à tenir tête, à garder le cap. A affirmer mes convictions. Parfois à les chercher ! Je laisse les mots alors me guider, mes pas me mener, le hasard faire les choses, le regard appréhender l'espace, le temps me courir après !
Parfois, je laisse mes rêves flotter dans un air de musique aux balancements de mon coeur et mon regard qui s'échappe, personne ne sait où il va... Personne.

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HISTOIRE D'HAUTRE

C'est l'histoire de la planète HAUTRE.

Un monde merveilleux où régnaient la paix et l'harmonie. Apparemment.

Le peuple, les Hautriens n'étaient pas forcément des plus heureux mais ne faisaient pas partie des peuples les plus mal lotis de la galaxie SIPHARDS2. Le soleil chauffait agréablement leur douce planète, l'air était à peu près respirable car ils avaient trouvé de nouveaux moyens de transports moins polluants. L'industrie, depuis longtemps, n'était plus implantée sur leur planète, mais sur des planètes connexes. L'eau coulait non pas abondamment, mais suffisamment pour abreuver la population.
Ils avaient tout pour être heureux.

Mais...

Il y avait seulement des petits Frixions (petits êtres bizarres qui s'entrechoquaient continuellement), et cela ne pouvait être résolu par de la science. C'était, en fait, de l'art véritable. Seul  un être venant d'une autre planète pourrait calmer la brèche, la fougue, l'emportement de ces Frixions.

Comme dans toute galaxie, tout univers, comme sur toute planète, comme le jour et la nuit, la dualité créait les Frixions.

Ces petits Frixions, comme tous les êtres, avaient un nom. Ils étaient deux bandes de Frixions en fait : les Dalmatto et les Nallerd...

D'où venait l'appartenance à l'un ou l'autre des clans ? Cela dépendait du hasard des rencontres, de là où les Hautriens étaient nés, où ils habitaient... Ils étaient différents, mais pas tous. Parfois, c'était flagrant, non pas forcément par le physique mais flagrant surtout, de par la nature de leurs pensées... Parfois, c'était difficile de les distinguer !

Beaucoup d'Hautriens étaient gênés par l'existence de ces frixions. D'autres trouvaient cela amusant... Et d'autres enfin étaient dedans.

Mais... vous saurez la suite de l'aventure extraordinaire de ces petits êtres... prochainement...

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15 mars 2007

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    Merci de votre lecture.

    CENDRA

    Posté par CendraOnTheBlog à 23:58 - INCESTE - Commentaires [0] - Rétroliens [0] - Permalien [#]

    LA CONDITION FEMININE selon M. BAYROU

    Permettez de mettre ici la proposition de M. Bayrou :

    Condition féminine

    « Priorité aux femmes »

    Les femmes assument souvent deux vies en même temps : familiale et professionnelle. D’autres se retrouvent complètement seules à "tout porter". Il y a enfin celles qui sont victimes, qui se taisent : François Bayrou s’engage à les aider.

    « Je veux parler de la vie des femmes, et notamment de cette contrainte que représente le fait d'avoir, très souvent, deux vies en même temps. Même si cela va mieux, même si les tâches familiales et professionnelles sont mieux équilibrées, les femmes portent toujours une très grande part de la responsabilité de la famille.

    Je veux en parler avec elles : du travail précaire, des CDD, des temps de travail à 20 heures, des emplois du temps que cela représente, avec leur vie personnelle et leurs charges de famille…

    C'est un très grand enjeu que l'équilibre à trouver autour de la condition de la femme. Salaires inférieurs d'un tiers à ceux des hommes, exigences plus grandes de la part des employeurs, fragilité qu'elles ressentent parce qu'elles se retrouvent souvent seules. Tout ceci est lourd à porter.

    Les femmes sont trop souvent victimes de violences, dans les cités en particulier : il faut qu’elles prennent les choses en main et fassent entendre leurs voix. Quand nous avons appris l'épouvantable drame de cette jeune fille transformée en torche vivante dans un bus incendié par des criminels dans la banlieue de Marseille, je me suis dit qu’un jour viendrait où il y aurait une révolution des femmes dans les quartiers. Et j’aiderai de toutes mes forces cette révolution des femmes pour sortir les banlieues du drame.

    Etre femme aujourd’hui, c’est aussi, parfois, être confrontée à la violence conjugale. La violence conjugale, c’est l’enfer. Pour les femmes, parce que leur foyer devrait être un lieu de paix et de protection, et qu’il devient le lieu de l’humiliation et des coups ; pour les enfants, dont la vie est brisée par ce qu’ils voient et ce qu’ils entendent. Il faut en parler davantage pour que les femmes échappent à la honte injuste qu’elles ressentent. Pour qu’elles parlent.

    Pour lutter contre la violence conjugale, je propose une loi-cadre, qui développerait l’information, y compris par la télévision. Je veux aussi accroître le nombre et la qualité des structures d’accueil des femmes et des enfants. Renforcer la veille sociale. Donner à la justice les moyens de sanctionner le coupable et de l’éloigner du domicile. »

    Permettez-moi de dire que c'est bien léger, cela n'est pas suffisant bien que l'intention de départ soit honnête mais digne d'un homme conservationniste...

    je rajouterai même que l'enfance et la protection de l'enfance ne font même pas partie de ses propositions.

    Je suis foncièrement choquée !

    Posté par CendraOnTheBlog à 23:16 - THEMES - Commentaires [0] - Rétroliens [0] - Permalien [#]

    ET SI LES HOMMES...

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    (1ère partie) pouvaient penser plus haut que leur ceinture...

    Histoire d'une femme naïve encore à 41 ans, que c'est beau... Tous les jours (ou presque), je me promène le long de la mer. Parfois, je vais jusqu'à la digue, vers le phare. Je n'étais pas si stupide pour penser qu'il ne s'y passait rien le soir. Avec toutes les allées et venues qu'il y a... Je me demandais donc... Drogue ? Prostitution ?

    Et c'est hier soir qu'un jeune homme (plutôt mignon d'ailleurs) m'aborde en me demandant si je cherchais quelque chose. Devant mon air étonné, il me demande si je suis de Nice... Ben euh, oui !
    Et puis donc, il me dit qu'ici c'est le "lieu" des homosexuels. Je lui réponds que je ne savais pas, effectivement,il rajoute que c'était un lieu de "rencontres", et moi, que je n'ai rien contre les homosexuels même si pour ma part, je suis contre le mariage des homosexuels (bon, je suis un peu vieux jeu...). Puis il m'explique qu'il se prostitue... Bon ok, je lui réponds que je n'ai rien contre les prostitué(e)s mais que j'en ai plutôt contre les macs... C'est pas que je voulais me justifier mais je sais pas, j'aime un peu l'insolite... Le hors norme... Alors, engager la conversation me tentait un peu...
    Et puis on apprend des choses...

    Il me raconte : "si vous saviez le nombre d'hommes mariés..." Ce que je sais... J'avais déjà lu un article sur une femme qui avait perdu son mari dans un accident ou quelque chose comme ça et qui avait appris que non seulement il avait une maitresse, mais un amant ! Waow. Son deuil a dû être vite fait...

    Par contre, ce qui m'a mise hors de moi, c'est quand il m'a dit qu'il y avait des enfants aussi. Je crois que j'étais tellement outragée que je n'ai pas osé poser plus de questions... J'aurais dû... Merde.

    Je ne suis pas contre la prostitution, d'un premier abord, parce que je préfère qu'un homme aille voir une prostituée plutôt que sa fille... Même si la fidélité, et surtout de nos jours, est quand même une valeur. Mais là n'est pas la question, je n'ai pas envie de faire la morale, loin de là...
    C'est seulement que les "limites" sont difficiles à poser.
    La prostitution "classique", librement choisie, (encore que...) peut amener à une prostitution forcée, à la pédophilie, à la drogue, à la violence et toutes les conséquences imaginables ou non imaginables...
    C'est quand une même un avilissement de la personne puisqu'elle est soumise à l'autre, au payeur.

    Cela amène à se poser la question sur le respect, thème que j'aborderai prochainement.

    Il m'a ensuite dit "vous savez, j'ai 28 ans. A 35 ans, je veux être marié et avoir des enfants"
    Je lui souhaite. Je ne souhaite que le bonheur des gens. Sauf des connards complets ou ... la liste serait peut-être un peu longue...
    Bref, après une proposition des plus honnêtes (enfin, euh... j'ai pas demandé le prix...), que j'ai dû décliner, je suis partie...

    SOUPIR....

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    Du n'importe quoi !

    Un maire breton parraine Arlette Laguiller après tirage au sort

    SAINT-JEAN-SUR-COUESNON (AFP) - Le maire de Saint-Jean-sur-Couesnon, un petit village d'Ille-et-Vilaine, parrainera la candidate de Lutte Ouvrière, Arlette Laguiller, après avoir tiré son nom au sort parmi une liste de quinze candidats.

    Pierre Prodhomme, le maire sans étiquette de cette commune de près de 900 habitants proche de Fougères, a pioché mercredi matin dans une urne transparente l'une des quinze enveloppes renfermant les noms de candidats n'étant pas encore sûrs de réunir les 500 parrainages nécessaires pour l'élection présidentielle.

    "J'ai accompli mon devoir civique. Je souhaite que le 22 avril un maximum de gens aillent voter, c'est la vraie démocratie et c'est eux qui décideront", a-t-il déclaré aux nombreux journalistes présents. M. Prodhomme avait annoncé la semaine dernière qu'il avait choisi le tirage au sort, comme l'a fait l'ex-ministre de la Culture Jean-Jacques Aillagon (UMP), conseiller régional de Lorraine, qui a tiré au sort le candidat de la Ligue communiste révolutionnaire (LCR), Olivier Besancenot.

    "Depuis quelques semaines, nous, les maires ruraux, subissons des pressions de la part des représentants des candidats", a regretté M. Prodhomme. Il a indiqué avoir reçu "trois, quatre demandes de parrainage par écrit et six, sept représentants de candidats".

    Dans le village, les avis des habitants sont mitigés sur l'initiative de leur édile. "C'est très bien. Les candidats n'ayant pas assez de parrainages doivent les avoir comme les "grands" candidats", dit Jean-Paul Gehannin, un chauffeur routier de 52 ans. "C'est bien. Le maire a été neutre et a pris l'initiative au nom de la commune, sans parti pris. Ce n'est pas normal que les petits partis ne puissent pas se présenter", explique aussi Didier Roger, 50 ans, garagiste.

    Par contre, Madeleine Baulieu, une retraitée baguette de pain sous le bras, dit que "tout ça" lui "est égal" car "c'est le truc des politiques".

    Et donc, "plouf plouf" ce sera toi qui sera président ??? Très engagé monsieur le Maire... ça fait un peu peur pour la suite... Le seul truc de relativement "bien", c'est qu'il n'ait tiré au sort que les candidats n'ayant pas réuni les 500 signatures...Mais j'ai un doute, Arlette Laguiller n'avait-elle pas les 500 signatures ?

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    14 mars 2007

    COUP DE GUEULE

    Abrutie

    ... de chez coup de gueule ! La rogne quoi.
    Je voulais m'inscrire dans 2 académies pour un concours (le même concours), et l'abrutie que je suis n'a regardé qu'une seule date, celle de l'académie la plus éloignée où je me suis inscrite... M.E.R.D.E.
    La date limite d'inscription à ce foutu concours était pour notre académie le 7 mars mais, pour l'autre académie, le 9.... C'est ce qu'on appelle en psy un acte manqué. Ouais, génial.

    Le pire, c'est que, là où je vais être inscrite, beh, j'avais regardé les tarifs d'avion pour y aller, quand même... Mais là, ils ont quasiment doublé. (400 euros minimum) Binzzzz... Je vous jure, j'ai envie de hurler un bon coup pour arrêter de me traiter d'abrutie... (même si je le suis) et comme ça, mes voisins de merde d'en face fermeraient peut-être leur gueule...

    Chuis désolée d'être vulgaire... Mais j'ai les boules....

    Hummm, je sens que je vais me pondre un bel article, ça me défoulera, je taperai sur le clavier à la place... d'avoir envie de me traiter d'abrutie !!!

    Fumant

    Posté par CendraOnTheBlog à 16:03 - COUPS DE GUEULE - Commentaires [0] - Rétroliens [0] - Permalien [#]

    13 mars 2007

    Z'ETES DES AMOURS

    Encore un record mais vous allez croire que je me vante, alors, je vais peut-être arrêter... d'en parler, nouveau record de pages visitées mais bon, facile, car plus il y a de pages et ... Vous devinez la suite...
    Sweet dreams....


    Waowwww, 23 pages de visitées le temps de poster le message, record battu de chez battu... Par contre j'ai un doute que ce ne soit des proxies anonymes... Je vérifie et je reviens...

    Le temps de vérifier, 8 de plus... et apparemment des surfers anonymes.... Bah.... j'ai jamais tué personne moi !

    Bon surf et bonne nuit les 'tits loups....

    Posté par CendraOnTheBlog à 23:50 - Commentaires [2] - Rétroliens [0] - Permalien [#]
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