16 mai 2007
DISCOURS DE VILLEPINTE
Puisqu'on en parlait à l'AG, eh bien, pour ceux ou celles qui voudraient le voir ou revoir :
FESTIVAL DE CANNES
Pour les touristes, qui en ont marre de galérer dans Cannes, l'édition du Nice Matin a publié 2 plans anti galère :
For turists, who came for the 60th Film Festival in Cannes and are fed up with the traffic, here are two maps that may help them!
MUNICIPALES 2008
Sarkozy promet de ne pas changer le calendrier électoral.
LES SECTIONS AU PS
Les Sections
La section est la structure de
base du partiElle est constituée d’au moins cinq adhérents, dont le secrétaire
de section et le trésorier. Elle correspond traditionnellement à une aire
géographique : canton, commune, quartier ou arrondissement d’une ville
importante. Une section peut aussi correspondre à un lieu de travail
(administration, entreprise publique ou privée). Les sections sont le lieu de
débat et de rassemblement de tous les militants. Elles expriment l’opinion des
militants et mettent en œuvre au niveau local la politique du parti, en
concertation avec les fédérations.
Le secrétaire de section
Le premier secrétaire de section
est élu à bulletins secrets et au scrutin uninominal majoritaire à deux tours
par la première assemblée générale des adhérents de la section suivant le
congrès national. Il est l’animateur de la section dont il est le porte-parole.
Il peut être secondé par un secrétaire adjoint et un secrétariat de section.
La commission administrative (ou
bureau de section)
Lors du congrès, la section élit une commission administrative à la proportionnelle des motions nationales, à hauteur de leur représentation dans la section. Le même mode de scrutin est appliqué pour la désignation des délégués de la section au congrès fédéral.
LES FEDERATIONS PS
Les Fédérations
La fédération rassemble les sections au niveau départemental. Elle met en œuvre la politique du parti pour chaque département. Les instances de la fédération sont renouvelées à chaque congrès. Le conseil fédéral (CF) est l’instance de décision de la fédération. Il délègue certaines de ses prérogatives au bureau exécutif fédéral (BEF). Le secrétariat fédéral assure la gestion politique de la fédération, en liaison avec le secrétariat national du parti, et agit par délégation de la CF ou du BEF.
Le Conseil Fédéral (CF)
Il est composé de membres élus par le congrès fédéral à la proportionnelle des courants (leur nombre dépend de l’importance de la fédération). Le CF définit les orientations politiques de la fédération. Les secrétaires de section sont invités au conseil fédéral.
Le Bureau Exécutif Fédéral (BEF)
Le BEF est constitué de membres élus par le CF, selon l’application de la proportionnelle des courants. Le BEF est chargé de mettre en application les décisions politiques de le CF.
Le secrétariat fédéral
Le secrétariat fédéral est constitué de membres choisis par le premier secrétaire fédéral, parmi la majorité politique de la fédération. Les secrétaires fédéraux ont la charge de le seconder dans la gestion courante de la fédération et dans l’application des décisions du CF. Les secrétaires fédéraux ont la charge d’un ou plusieurs secteurs d’activité ; ils peuvent être assistés d’un ou plusieurs délégués fédéraux.
Le premier secrétaire fédéral
Il est élu au scrutin
majoritaire à deux tours par les militants lors d’une deuxième session après la
tenue du congrès national. Tout candidat au poste de premier secrétaire fédéral
doit présenter un plan d’action fédéral. Le secrétaire fédéral est l’animateur
politique de la fédération et son porte-parole. Il assure la liaison avec le
secrétariat national aux fédérations. Il préside les réunions du secrétariat
fédéral, du BEF ou du CF, devant lequel il rend compte de ses activités. Le
premier secrétaire fédéral assiste de droit, avec voix consultative, aux
réunions du conseil national.
L’union régionale regroupe les fédérations d’une même région. Elle est dirigée par un comité régional du parti qui détermine la politique du parti concernant les problèmes propres à la région et veille à son application en liaison avec les élus. Le comité régional est élu par une convention régionale qui se réunit dans la quinzaine de jours suivant le congrès national.
SONDAGE LEGISLATIVES SELON IPSOS
Législatives:
40% UMP, 28% PS/PRG/MRC, 10% MD, selon IPSOS
PARIS (AFP) - Les candidats UMP
et UDF soutenus par l'UMP recueilleraient 40% des intentions de vote au premier
tour des législatives, tandis que ceux du PS, du PRG et du MRC obtiendraient
28%, selon un sondage IPSOS pour Le Point à paraître jeudi.
Les candidats du Mouvement démocrate obtiendraient
10%, ceux du Front national 8%, ceux des Verts 4%, du PCF 3,5% et de l'extrême
gauche 3%.
Le MPF obtiendrait 2%, le MNR 0,5% et CPNT 1%.
La droite parlementaire est créditée au total de
42%, la gauche parlementaire et les Verts de 35,5%.
13% des personnes interrogées, certaines d'aller
voter, n'ont pas exprimé d'intentions de vote.
Au second tour, en cas de duel gauche-droite, 56%
des personnes interrogées choisiraient le candidat de l'UMP ou de la majorité
présidentielle et 44% le candidat de la gauche (PS-PC-Verts). 11% des personnes
interrogées, certaines d'aller voter, n'ont pas exprimé d'intentions de vote.
En cas de triangulaire avec les candidats du Mouvement
démocrate de François Bayrou, le candidat de l'UMP ou de la majorité
présidentielle recueillerait 51%, le candidat de la gauche (PS-PC-Verts) 38% et
celui du candidat UDF-Mouvement démocrate 11%. 11% des personnes interrogées,
certaines d'aller voter, n'ont pas exprimé d'intention de vote.
Ipsos ne fait pas encore de projection en sièges.
L'institut rappelle qu'en 2002, l'extrême gauche a
obtenu 2,8% au premier tour des législatives, le PC 4,8%, l'ensemble
PS/PRG/Pôle républicain et DVG 27,9%, les Verts 4,5%, le Mouvement démocrate
4,9%, l'ensemble UMP/DL/RPF/MPF et DVD 38,5%, le FN 11,3%, le MNR 1,1% et CPNT
1,7%.
Dans chacune des circonscriptions (415 dans cette
enquête), IPSOS a proposé aux personnes interrogées le nom des candidats déjà
déclarés ou présents en 2002 pour les grandes formations.
Les noms des candidats du Mouvement démocrate
n'étaient pas encore connus, ils ont été mentionnés sous l'appellation "le
candidat de l'UDF- Mouvement démocrate" dans chaque circonscription.
L'enquête d'Ipsos ne peut pas prendre en compte la
multiplicité des candidatures (DVG, DVD, autres écologistes, régionalistes,
etc) qui vont être déposées d'ici le 18 mai.
Les intentions de vote ont été calculées sur la
base des électeurs inscrits se déclarant certains d'aller voter, soit 78% des
personnes interrogées.
Sondage réalisé par téléphone les 11 et 12 mai
auprès de 948 personnes, constituant un échantillon national représentatif de
la population française âgée de 18 ans et plus et inscrite sur les listes
électorales (méthode des quotas). Notice détaillée disponible à la commission
des sondages.
FAUT QUE JE CHANGE DE LUNETTES...
Cela me conforte dans l'idée que le Parti Socialiste doit faire un travail sérieux sur lui-même. Je crois profondément en des valeurs de gauche, mais, depuis peu militante, je n'ai la connaissance passée de mes camarades qui sont au PS depuis plus longtemps que moi. Cela n'empêche que je me pose de plus en plus de questions, quitte à déplaire à certains, quitte à plaire à d'autres -mais pas la droite de Sarkozy!- seulement, les doutes ne doivent pas rester improductifs. Je sais que mes billets d'humeur ne font pas l'unanimité. Je sais que je ne milite pas à fond. J'ai besoin qu'on me réponde. J'ai une soif d'idéal, mais pas d'un idéal aveugle. et j'ai presque envie de voir exploser le parti socialiste SI et seulement SI (plus que de simples mathématiques) cela doit mener à une vraie construction. Le Parti Socialiste est resté immobile pendant cinq ans. Ne voyez-vous pas qu'il est temps d'enfin bouger dans le bon sens. Les idées de Ségolène Royal ne sont pas mauvaises mais mal exploitées. Ségolène Royal n'est pas mauvaise. Elle a été mal épaulée. Elle s'est battue. Et elle s'en est reçues des claques. Je ne sais pas moi, mangez un mars, mais, je vous le garantis, ce n'est pas cela qui vous aidera à redémarrer, vous prendrez juste un peu de cellulite dans les fesses.
Certes, critiquer, c'est facile. Je ne sais pas quoi faire pour que cela bouge. Plutôt timide devant une assemblée, j'ai du mal à prendre la parole. Et pourtant, je vous le dis, ça me titille. Je crois vraiment qu'il faudrait que je dépasse la "toile" du net qui elle me permet de m'extravertir. Honte à moi dès que je sors !
Vraiment, faut que j'ose. Il me manque un peu des connaissances, mais ça, ça se cultive. ça se soigne plus facilement qu'une sclérose d'un parti, un parti que Ségolène a commencé à faire bouger.
Sur le site du Nouvelobs, un sondage virtuel montre bien que la gauche doit être fière d'être elle-mêm ! Je rajoute, après recomposition.
Le PS
exige une clarification publique de Jean-Michel Baylet
PARIS (Reuters) - Le Parti
socialiste a réclamé à Jean-Michel Baylet une "clarification
publique" de ses intentions après ses appels à créer "une grande
force centrale" composée des radicaux de gauche et de droite.
Dans une tribune publiée par Le
Figaro, le président du Parti radical de gauche (PRG) estime que la
"stratégie d'union de la gauche (...) n'a plus d'actualité" et se
tourne vers ses "amis" Jean-Louis Borloo et André Rossinot, qui
dirigent le Parti radical valoisien.
"Les radicaux de gauche ne
sont plus décidés à pâtir encore (des) sempiternelles divisions" qui
traversent le Parti socialiste dont "l'incapacité à organiser le
rassemblement (...) a entraîné ses alliés dans la défaite" lors de la
présidentielle, souligne le sénateur du Tarn-et-Garonne.
Associé à la campagne de
Ségolène Royal, Jean-Michel Baylet a été reçu mardi par Nicolas Sarkozy, qui a
annoncé son intention s'entretenir avec les leaders de l'opposition. Mardi,
François Hollande a précisé ne pas avoir reçu d'invitation à ce jour.
Le premier secrétaire du PS a
reçu Jean-Michel Baylet pendant une heure et demie mercredi matin, au lendemain
de l'entrevue entre le président du PRG et Nicolas Sarkozy.
L'entretien a permis des
"clarifications" sur l'ancrage à gauche du PRG et la volonté de
poursuivre le partenariat noué pour la présidentiel jusqu'aux législatives et
"au-delà", a assuré Benoît Hamon lors d'un point de presse à la
mi-journée.
"Ces clarifications ont eu
lieu auprès de François Hollande. Nous souhaitons qu'elles soient rendues
publiques tant le dernier épisode a pu apparaître confusant", a ajouté le
député européen. "Qu'il dise dans quel camp il se situe".
TAPIE "AGENT
DÉBAUCHEUR"
L'initiative qui semble
"très solitaire" de Jean-Michel Baylet ne remet pas en cause a priori
l'accord électoral noué entre le PRG et le PS dans 32 circonscriptions pour les
législatives de juin, a-t-il expliqué, tout en demandant à Jean-Michel Baylet
de s'exprimer avant la clôture du dépôt des listes, vendredi soir.
Pour les socialistes, la
rencontre Baylet-Sarkozy est la dernière manifestation en date d'une entreprise
de déstabilisation du PS avant les législatives, avec Bernard Tapie, ancien
membre du PRG dans le rôle de l'"agent débaucheur numéro un" du
nouveau président de la République.
Le principal but de l'opération "est d'affaiblir la gauche", a estimé Benoît Hamon. "Veut-on ou pas que la gauche soit plus faible et moins en capacité d'exercer des contre-pouvoirs face à la droite? Voilà les questions qu'on pose à Jean-Michel Baylet".
Six des neuf députés PRG ont dénoncé les annonces de Jean-Michel Baylet et une quinzaine de responsables du parti ont réclamé la tenue avant le week-end d'un comité directeur exceptionnel.
Dans leur appel, les députés
radicaux expliquent qu'ils "entendent évidemment demeurer fidèles à
l'engagement à gauche des élus et des militants" du PRG qui "est
indiscutable".
"Le radicalisme n'est pas
un centrisme", martèle dans un communiqué séparé Roger-Gérard
Schwartzenberg. "C'est un courant essentiel et fondateur de la gauche. Le
MRG a précisément été créé en 1972 pour marquer cet ancrage à gauche et pour
incarner une alliance privilégiée avec le PS", souligne le député du Val-de-Marne.
"Aucun flou ne saurait
perdurer quant aux intentions des radicaux de gauche. Fidèles à la pensée de
(Pierre) Mendes-France, ils rappellent leur refus de l'opportunisme dans la vie
publique", déclarent de leur côté des responsables du PRG, dont son
vice-président, Thierry Braillard.
DU NOUVEAU DANS LES FRONTIERES ?
Quand Sarko veut nettoyer la Gauche au Kouchner...
"La fidélité, c'est pour les sentiments, l'efficacité, c'est pour le gouvernement" Nouvel adage sarkozyen pour tempérer les revendications des sarkozistes... J'en viens à me demander comment quelqu'un de droite peut, au final, percevoir, ces intromissions de gauche... ou de prétendue gauche. Pour cela, je suis François Hollande : ces gens-là, monsieur, ces gens-là, ne sont plus de chez nous !
Fidélité donc. J'espère que Nicolas Sarkozy aime la France un peu plus que... il y aurait du souci à se faire.
Parce que moi, j'aime la France, dans sa diversité, pour sa culture, pour sa place dans le monde (même réduite de nos jours) et je ne suis pas du genre à faire du cocorico. Et voire même à pousser une gueulante et à chanter tous les hymnes qui me sont chers. Mon préféré, le marocain !
Bon, certains n'ont pas attendu que Sarkozy soit officiellement intronisé ni élu... Pas forcément les plus courageux...
S'il ne croit pas à la "fidélité", je me demande comment il compte "tenir" tous ceux qui l'entourent, et notamment, son équipe la plus proche, car il vaut mieux s'entourer de fidèles, ou alors, je ne sais pas, avoir une poigne de fer, être proche de la dictature, faire régner la terreur. Terreurs sur terreurs. Horreur.
Ce qu'on ne peut lui enlever, c'est l'efficacité.
Pour la bonne marche de la France, je n'en suis pas si sûre...
QUAND ON N'APPLIQUE PAS A SOI-MEME...
V'là déjà un homme qui va nous coûter cher... à lui seul ! Etant donnés les déplacements d'un chef de l'Etat, ayant instauré lui-même la terreur, la restriction budgétaire ne sera pas policière. Laissez-moi ce plaisir de faire une rime ! S'il doit y avoir restriction, ce sera sur le nombre des VIP... Il faudra en établir la liste !VIP ? Visiblement Immorale Personne... Le seul problème, c'est que ça court les rues ces bestioles-là... Surtout ces derniers temps, et dans nos rangs également. Ce ne sont pas des hommes qui passent l'arme à gauche ("sauf pour nous flinguer", éventuellement), paix à leur âme, mais j'espère que la restriction ne concernera pas l'hôpital qui devrait voir l'affluence de gens malades de la gauche. Heureusement, il nous reste quelques vaillants combattants.
A VOIR AB-SO-LU-MENT !
Ne ratez pas ça !