13 mai 2007
J'BROUTE, J'BROUTE... et schprout !
S'il y en a d'autres qui s'y mettent aussi... Après Blum, Jaurès, Luther King, Mitterrand, oui ! (lire mon post : Non mais à quoi il joue ?)
Donc, selon Nice Matin, Sarkozy aurait adopté des démarches pour la droite tout comme François Mitterrand aurait replacé la gauche bien à gauche, mis à part le fait que Sarkozy, lui, a placé la droite... à l'extrême droite ! Nuance ! Et d'employer NOTRE enseigne : désir... d'ensemble !
Ah non, là, c'est trop, vraiment trop !
A LIRE :
Jaurès, Blum, copains de Mussolini ?
Mardi 13 février 2007
Jaurès, Blum copains de Mussolini .
Pour ceux qui se souviennent du Nicolas Sarkozy nouveau de la Mutualité, gauchiste en diable, ami de longue date de Jean Jaurès et copain de vélo de Léon Blum, du lecteur ancien d’Albert Camus et du compagnon des résistants gaullistes de la première heure, mais qui auraient oublié le Nicolas Sarkozy d’avant, c'est-à-dire l’homme de droite , autrement dit celui d’après demain, une fois l’élection passée, il est bon de savoir que son livre français Témoignage a été traduit en italien pour le compte des éditions Nuove Idee et préfacé par Gianfranco Fini qui dirige l’Alliance Nationale un parti qui descend en ligne directe du MSI le parti fasciste mussolinien. Ledit Fini prétend tourner le dos à son passé fasciste mais en 1994 il écrivait encore : « Mussolini a été le plus grand homme d’Etat du XX° siècle ». Jaurès, Blum et Benito, même combat ?
A LIRE EGALEMENT
Le sarkozisme est un anti-humanisme, sur BETAPOLITIQUE
Et pourtant, un mal le
ronge qui ne quitte pas ses pensées, habite ses mots et corrompt ses
actes : la certitude de son illégitimité. Une illégitimité non pas fondée
sur sa personnalité, son passé ou ses compétences présentes, mais sur les
forces sous-jacentes à son projet lui-même. Que l’on lise ses écrits, que l’on
écoute ses discours ; qu’on les prenne au sérieux, c’est-à-dire au premier
degré – références à l’histoire, à la science, à la morale comprises –, et l’on
comprendra, au-delà de tout psychologisme, ce qui se joue à travers le destin
de cet homme, et sous les apparences d’une énième redéfinition de l’identité de
la droite française.
Nicolas Sarkozy n’est pas
un cynique. Joueur, hâbleur, menteur peut-être, c’est pourtant un convaincu –
d’autant plus efficace et dangereux. Formé au combat politique dans les années
de décadence et de décomposition fratricide du gaullisme, il a appris l’écart
de l’idéal à la pratique, des apparences au réel, des faits à leur mise en
représentation médiatique. Grandi dans l’ombre de Jacques Chirac, il en a
médité la seule leçon – que le pouvoir contient sa propre justification. Héros
négatif et naïf de l’élection présidentielle de 1995, il a compris à ses dépens
que la morale – en l’occurrence, celle de la « fidélité » – était
l’arme suprême de l’immoralité, c’est-à-dire de la raison d’État.
(...)
Ce que Nicolas Sarkozy
pressent toutefois, c’est que cet évangile fait de lui un étranger dans son
propre pays. Étranger à sa culture politique, à ses formes de régulation
sociale, aux idéaux qui structurent ses institutions. Pitoyablement contraint à
citer jour après jour tous les noms glorieux du panthéon national, fussent-ils
liés à la gauche la plus révolutionnaire, pour persuader et se persuader
lui-même de la légitimité « historique » et « nationale »
de son projet ; et en même temps exalté par l’horizon mystique de ce
dernier, jusqu’à le rendre, à la manière d’un télévangéliste appelant à la
repentance et à la mortification, extraordinairement haineux contre tout ce qui
symbolise le vieux monde de l’humanisme et de « l’exception française ».
Mai 68 en apparence, son esprit de jouissance et de liberté ; 1936 et le
Front populaire, malgré les citations provocatrices de Léon Blum ; 1789
plus sûrement, fondement du contrat social moderne.
Ainsi, Nicolas Sarkozy ne
saurait être dupe de l’enthousiasme de ses dévots : ce qu’ils attendent de
lui, ou plutôt de l’icône martiale et inquisitoriale qu’il est devenu, c’est
encore et toujours une trahison. Trahison non plus d’un homme, mais d’une idée
de l’homme – et avec elle, de l’enfant rebelle, du « sans-papiers »,
du malade mental… Elle est bien là, dans la crise de l’universalisme et de la
démocratie représentative hérités des Lumières du 18e siècle, la demande
adressée à l’homme providentiel : qu’il prenne le pouvoir, tout le
pouvoir, pour en assumer seul les brutalités inévitables – tant la culture
politique française est habitée par l’angoisse de la responsabilité collective
face à l’histoire. Un jour sans-culotte, l’autre boutiquier. Voici donc le
peuple souverain, le peuple héritier de la Révolution, déboussolé par une
propagande débilitante, conduit à comploter contre lui-même, pour sa propre
aliénation. À l’heure de la lutte globalisée, du Nord contre le Sud et de
« nous » contre « eux tous », la société française si
profondément attachée à la solidarité sociale, est tragiquement conduite à se
demander si, pour en sauver l’idée, elle ne doit pas se replier dans la seule
arche de la nation. Et, pour en défendre l’accès au reste de l’humanité, s’en
remettre à un tyran shakespearien…
(...)
De fait, la dissolution des
formes anciennes de solidarité par l’avènement du paradigme libéral dans sa
forme mondialisée (et non pas de l’utopie socialiste ou de l’hédonisme, comme
Nicolas Sarkozy, toujours prompt à occulter dans le moralisme les effets bien
réels du capitalisme, feint de le croire) a en effet atteint l’ordre social
jusque dans ses structures anthropologiques élémentaires. L’expérience
collective du travail, le couple, la transmission intergénérationnelle, et
jusqu’à l’identité sociale des individus se sont trouvés menacés par la
réduction de la vie sociale à une compétition permanente. Or, cette remise en
cause des fondements ontologiques des systèmes sociaux a eu pour effet de
générer des mécanismes psychologiques et sociaux de défense identitaire et
symbolique, invisibles sans doute à leurs propres acteurs, mais terriblement
efficaces pour qui se révélerait capable d’en canaliser l’énergie morale
négative. (...)
Par-delà la dénonciation
des « parasites » et des « voyous » et l’exaltation d’une
« France éternelle » qui, elle, « ne brûle pas les
voitures », c’est donc la conception universaliste de la dignité sociale
et des droits de l’individu qui se trouve ainsi remise en cause, au profit
d’une nouvelle segmentation des identités, bâtissant par des actes de violence,
à la fois physique et symbolique, des barrières ontologiques irréversibles
entre les groupes sociaux. Forme de communautarisme évidemment social, mais
habillé de justifications culturelles, séparant d’un côté ceux qui, par leur soumission
ou leur adéquation à la normalisation en cours, auront droit de cité et de
« protection », et de l’autre tous ceux que leur origine, leurs tares
innées ou leur immoralité acquise disqualifie pour cette « dignité »
et rejette dans le non-droit.
L’obsession de notre époque
pour la délinquance, en association avec l’origine ethnique et les formes de
sexualité (voir les fantasmes sur la polygamie au moment des émeutes de 2005),
est emblématique de cette recomposition, morale et biologique à la fois, du
sens des affrontements sociaux. D’un côté, Ben Laden comme nouvelle figure
d’une altérité menaçante, faisant métastase dans les « quartiers » et
appelant soumission à une figure virile et protectrice du pouvoir ; et de
l’autre, le refuge dans des « valeurs » qu’on pourrait tout aussi
bien appeler va-leurres, tant elles tiennent de l’illusion collective ou de la
tartuferie intéressée – ainsi de la manie de « l’authenticité », de
la « tradition », de la généalogie ou encore du ré-enracinement dans
une ruralité mythifiée. Le Front national n’a fait que capitaliser un temps
cette énergie sociale implosive, qui se nourrit des images de la violence d’un
monde réduit à un village par la communication, pour reconstruire dans la
sphère locale réelle un ordre ontologique inégalitaire et xénophobe. Il était
inévitable qu’il se voie disputer cette source d’énergie morale.
(...)
Nicolas Sarkozy serait-il
donc un nouvel avatar de la « bête immonde », un fasciste du 21e
siècle ? Bien sûr que non. Même de cela, il n’est pas un héritier. Mais un
homme déchiré, oui : entre une vague qui le porte et l’exalte, l’aveugle
et l’enthousiasme tout à la fois, mais qui lui promet un destin de tyran des
faibles et de traître à la devise républicaine ; et une aspiration à la
légitimité et à la reconnaissance ordinaires, qui le pousse à invoquer les
mânes de Jaurès, de Blum et des héros de la Résistance, mais n’a rien d’autre à
lui promettre qu’une carrière banale de politicien opportuniste, à l’aune de
ses passages aux ministères du Budget et des Finances, dans une puissance
moyenne à l’écart des grands enjeux du siècle. Incarner une contre-révolution
ou se résigner au conservatisme, tel est le dilemme qui traverse l’homme, et
qui fascine tous ceux qui, à ses côtés, pensent que la trahison est le chemin
nécessaire vers une fidélité plus haute.
Au-delà de la personne de
Nicolas Sarkozy, c’est en effet toute la société qui, par médiatisation
interposée, et dans l’occultation de ce que la gauche a à proposer, se trouve
happée dans cette dramaturgie. Dès lors, on ne s’étonnera pas de voir les
passions fuser de toutes parts et emplir l’atmosphère d’une électricité
menaçante. C’est ainsi Nicolas Sarkozy lui-même, incapable d’assumer la
cohérence de son individualité, de la charge à laquelle il aspire et de la
force historique qu’il prétend incarner, qui construit sa propre
« diabolisation » et appelle à une confrontation avec les forces
déclinantes du mouvement social et les forces inorganisées des exclus de la
société post-industrielle, dont naturellement il se croit certain de triompher.
* * *
Si par malheur le peuple
souverain, trompé par les clercs et ses propres contradictions, enfermé dans le
piège d’institutions de la Cinquième République conçues pour permettre la
concentration des pouvoirs et perverties encore par un système médiatique
hystérisant, lui confiait dimanche les clés du pouvoir, que Nicolas Sarkozy
sache au moins qu’il ne sera pas seul à connaître le secret de son
illégitimité : chaque fois qu’il succombera à la tentation d’attaquer les
Lumières, ce et ceux qu’elles protègent, des voix s’élèveront, des forces se
lèveront pour lui dénier, majorité ou pas, le droit moral d’agir au nom du
souverain. Car les Lumières, n’en déplaise aux apôtres du post-humanisme, ont
peut-être épuisé une forme historique de leur incarnation, elles demeurent au
fondement même de l’aspiration humaine au bonheur, à la connaissance et au
partage, et n’ont rien perdu de leur légitimité morale non plus que de leur
puissance de subversion.
Lyon, le 1er mai 2007
Pierre Cornu et Jean-Luc
Mayaud,
enseignants d’histoire contemporaine
des Universités
Le texte
suivant n’engage que ses auteurs, et non les institutions auxquelles ils
appartiennent. Le monde de la recherche, et spécifiquement les sciences
sociales, ne peuvent toutefois rester muets face à la remise en cause des
règles les plus élémentaires de la vie en démocratie. On ne peut accepter que
la rationalité, les faits ou l’acquis de la recherche, tant en histoire qu’en
sociologie, psychologie ou biologie, soient balayés par la démagogie d’un
candidat et la lâcheté ou l’ignorance des principaux médias, privant les
citoyens des éléments indispensables à l’éclairage de leur vote.
Les
signataires de ce texte appellent tous ceux qui, comme eux, sont attachés aux
héritages des Lumières et croient toujours à leur validité scientifique,
éthique et politique, à rejeter solennellement, avant le 6 mai et après s’il le
faut, le droit de Nicolas Sarkozy, coupable de tromperie et d’abus de pouvoir
caractérisés au cours de sa campagne, à parler jamais au nom de la République
française. L’utilitarisme post-humaniste a trouvé son acteur, nous ne serons
pas ses clercs.
SANS VOULOIR POLEMIQUER
Mais, sincèrement, c'est à ne pas louper !
Source : Cf Yahoo! News
Un article sur Cécilia Sarkozy
aurait été censuré
PARIS (Reuters) - Un article du Journal du Dimanche révélant
que Cécilia Sarkozy n'aurait pas voté lors du second tour de la présidentielle
aurait été censuré par l'actionnaire de l'hebdomadaire, le groupe Lagardère,
selon une information parue sur le site Internet Rue89.
"Selon nos informations, le Journal du Dimanche a
renoncé à publier un article racontant comment Nicolas et Cécilia Sarkozy
avaient passé leur dernier dimanche, le 6 mai, jour du second tour",
lit-on sur ce site fondé par d'anciens journalistes de Libération.
Selon eux, leurs confrères du JDD auraient
"découvert", en consultant le registre du bureau de vote où était
inscrite Cécilia Sarkozy que l'épouse du candidat de l'UMP "n'avait pas
voté".
Le directeur de la rédaction de l'hebdomadaire dominical,
Jacques Espérandieu, a alors demandé à ses journalistes samedi, veille de la
parution du journal, d'appeler Cécilia Sarkozy avant de publier l'information,
indiquent les rédacteurs de Rue89.
Cécilia Sarkozy n'a pas voulu faire de commentaire, ajoute
le site internet.
"A la suite de quoi, plusieurs membres de la garde
rapprochée de Nicolas Sarkozy seraient intervenus", affirme Rue89 qui cite
notamment Claude Guéant, le directeur de campagne de Nicolas Sarkozy et Franck
Louvrier, son responsable de la communication.
"Finalement, Arnaud Lagardère, patron du groupe
Lagardère, a exigé que l'article soit remis dans un tiroir", affirme Rue
89.
"L'article, illustré d'une photo de la liste
d'émargement, mentionnait également de vifs échanges, dans la soirée (du 6
mai), au sein du couple", précise Rue89.
Le Journal du Dimanche n'était pas joignable dans l'immédiat.
et à lire sur RUE89...
CONSEIL NATIONAL DU 12 MAI
Intervention de François Hollande
La refondation de la gauche :
c’est-à-dire des regroupements, des constructions mais qui ne peuvent pas être
des « mécanos » où il faudrait s’adjoindre et prendre ce qu’il reste du reste
de la gauche. IL faudra le faire sur une ligne idéologique claire et assumée
comme telle.
Le renouvellement des générations
: sûrement ; il a là des prétentions légitimes. Mais aussi le renouvellement des
catégories sociales, des visages et des couleurs.
La question du leadership sera
forcément posée, mais à nous d’en fixer les calendriers, les modalités, la
méthode et la démarche. Pas aujourd’hui en tout cas. Tout sera mis sur la
table, mais veillons à ne pas la renverser.
(…)
Le rassemblement est nécessaire, impérieux. Mais ce n’est
pas une commodité, un arrangement, une combinaison, une contorsion. C’est une
exigence non pas pour nous-mêmes, mais pour protéger les Français. Une exigence
pour ceux qui ont voté pour nous et d’autres qui ne l’ont pas fait mais qui
s’interrogent.
(…)
Je ne laisserai pas se défaire ce que nous avons
construit. Je ne laisserai pas des comportements individuels mettre en cause le
collectif.
(…)
Quant à notre avenir, il ne sera grand que si nous avons
compris le passé, dominé le présent et préparé ensemble le futur qui ne
commence pas aujourd’hui, mais qui dépend de notre capacité, aujourd’hui, à
faire face, à être fiers et, en même temps, au service de nos concitoyens.
Merci, monsieur Hollande de nous rappeler que nous devons rester fiers, sans vouloir bomber le torse, mais en faisant ce qu'il y a à faire en temps voulu !
Intervention de Ségolène Royal
Je dirai simplement quelques mots pour dire aussi que tous ces applaudissements sont destinés aussi à tous les militants, les citoyens qui se sont formidablement mobilisés au cours de cette belle campagne.
Vous dire aussi la fierté d’avoir conduit cette campagne, désignée par 60 % des
militants socialistes, je voudrais souligner la très forte mobilisation dans
les fédérations, la mobilisation des militants, bien sûr, mais aussi celles des
partis alliés qui nous ont rejoints, qui nous ont soutenus dans cette campagne,
tous les élus qui ont également été en première ligne de ce combat. Nous avons
vu des salles pleines à craquer, des citoyens enthousiastes, des citoyens
mobilisés, et aujourd’hui c’est une force qui s’est levée, même si le combat ne
s’est pas terminé comme nous l’aurions souhaité. C’est une force qui s’est
levée de 17 millions de voix.
(…)
Je voudrais ici dire très simplement que j’entends ici ou là
des interprétations de la défaite, certaines justes, bien sûr, d’autres
dérisoires, et d’autres inutilement blessantes, mais je crois qu’aujourd’hui le
temps n’est pas aux polémiques. Je dirai pour ma part ce que j’en pense après
les élections législatives.
(…)
Je crois que la question, pour nous socialistes, c’est
d’être vrais et de réaliser, d’incarner le socialisme du réel, c’est ensuite
d’être cohérents, et j’allais dire disciplinés, même si ce n’est pas un mot
fréquemment utilisé parmi les socialistes. Et je pense que pour l’avenir, sans
anticiper les échéances, il est clair qu’il faudra réformer notre calendrier.
Je n'apprécie pas la petite "pique de monsieur Strauss-Kahn, un peu plus tard sur les "réalités" et personnellement, je suis plutôt fière que Ségolène continue le combat, alors que d'autres demanderaient qu'elle fasse comme Lionel Jospin. Quelle erreur se serait !
Intervention de Dominique
Strauss-Kahn
Alors les causes ? Est-ce que c’est le moment ? J’entends
bien tout le monde qui dit : est-ce que c’est le moment de discuter sur les
causes ? Parce qu’on a les copains, tous, qui sont dans le combat législatif.
Et d’un autre côté, c’est parce qu’il y a le combat législatif que je crois
qu’on ne peut pas faire semblant de ne pas regarder les causes. Quelqu’un a dit
tout à l’heure : ce ne peut pas être le troisième tour de la présidentielle.
Oui, c’est le troisième tour de la présidentielle, il aura exactement les mêmes
conséquences que les deux premiers.
(…)
Et moi, je voudrais que ce soit à ça qu’on se consacre,
bien sûr dans les semaines qui viennent, la bataille des législatives, moi
comme les autres, on sera disponible pour aller dans la mesure du temps qui
existe, défendre les copains un peu partout, là où on peut aider à gagner des
circonscriptions, mais au-delà de la bataille des législatives, on ne peut pas
s’endormir.
Je vous laisse chanter la célèbre chanson de Georges Brassens :
Non, ce n'était pas le radeau
De la Méduse, ce bateau
Qu'on se le dise au fond des ports
Dise au fond des ports
Il naviguait en pèr' peinard
Sur la grand-mare des canards
Et s'app'lait les Copains d'abord
Les Copains d'abord
No comment !
Pour lire la suite :
NISSA 2008
Adieu...
Mon coeur est serré par une annonce faite par Garibaldo qui a décidé d'arrêter son blog.
Un blog que j'appréciais par dessus tout car il était si varié et pouvait aborder tant de thèmes, qu'ils soient politiques ou plus généralistes, avec des coups de gueules, des sensibilités qui ne pouvaient me laisser indifférente.
Nissa 2008 a vu le jour le 5 septembre 2005, je ne le connaissais pas encore. Je n'étais pas branchée blog en ce temps-là ! Quel dommage ! Combien de posts ai-je manqué, combien de richesses ! Combien de partages !
Le 30 novembre 2006, suite à un grand succès, un deuxième blog avait été créé afin de continuer sur sa lancée, et son succès !
Non seulement donc des posts de toute richesse abordant des thèmes variés, mais également des liens à foison, des posts "rafraichissants" !
Et des après-posts coup de coeur pour des sujets glanés deci delà...
Que de richesses donc, mais cela semble fini. Et j'en suis triste, si triste que j'ai voulu lui rendre hommage, pour le remercier de tout, et de rien, de nous avoir apporté tout cela. Au revoir Garibaldo, tu vas nous manquer...
Et c'est pas beau de mentir, même s'il y a des blogs très riches en politique, comme tu le dis, il n'y en a pas comme le tien !
Je ne te connais pas et je te tutoie, c'est pour dire !
CENDRA